"Pratiquer Rend Parfait"
Publier le 20 Janver 2010
Léon Jay et le développement du Small Circle Jujitsu
Aux débuts du 21ème siècle, beaucoup d’artiste martiaux se demandent si leurs techniques peuvent être efficace en situation, une manière de réconcilier le traditionnel avec le pratique pour la vrai vie. Cela est bien évidemment difficile de trouver des instructeurs capable de maitriser ce chemin étroit entre le traditionnelle et l’innovation. Le Prof. Léon Jay est un de ceux qui est capable de faire le lien – mais il sera aussi le premier à mettre en avant qu’il est sur une longue phase d’apprentissage. Aujourd’hui il est un artiste martial talentueux et accompli et quand on se tient prêt de lui, il devient un guide désireux d’aider tous ceux qui serait disposé à apprendre.
Pour avoir quelques idées des ses habilités en tant qu’instructeur et pour comprendre pourquoi et comment il est devenu un instructeur, vous devez savoir quelque chose sur son parcours. Léon est le fils de Wally et de Bernice Jay – oui j’ai bien dit Wally et Bernice Jay- et le successeur à la tête du Small Circle Jujitsu, étant de la deuxième génération de Head master.
Léon est né à Alameda, une petite ile au sud de San Francisco en 1955. Ses parents sont métisses : Wally qui est moitié Chinois et Hawaiien et Bernice (qui a des ancêtres anglais). Hawaï est un lieu cosmopolite et d’échange des meilleurs artistes martiaux modernes toutes races et traditions confondues, Wally Jay en fait parti, appris leurs arts sur cette ile.
Vous pouvez vous demander, pourquoi Léon a reçu cet héritage? Hé bien, pour belle et bien une chose, en dépit du fait qu’il vient de la même famille, il n’a jamais été automatique que Léon puisse un jour être l’héritier du SCJ, bien au contraire. En réalité, les hommes de la trempe du Professeur Wally Jay ne pratiquent pas le népotisme, même si ils reconnaissent que ça ne sert pas forcement ce qu’il essaie de promouvoir. Léon a du gagné ses grades et son héritage par la voie dure. Les caractéristiques de la famille de Léon reposent dans ses valeurs et le mode de vie des Jays, encore plus que dans le haut niveau d’excellence techniques et de la recherche perpétuel d’efficacité.
Bien que Léon est commencé à s’entrainer avec son père à l’âge de 2 ans, il a toujours été intéressé par d’autre styles. Il détient le rang de Shodan en Judo du Kodokan, est ceinture noire de Tae Kwon Do, est 3ème Dan dans le Kodenkan Jujitsu du Prof. Henri Okazaki, le premier Sensei de son père.
Son père l’a toujours encouragé à aller voir d’autre style, et comme beaucoup de jeunes hommes, particulièrement durant son adolescence, Léon observa de nombreux système, recherchant l’originalité – ayant été entouré par les plus haut niveaux d’excellence en tant que artiste martial, Léon pensait simplement que c’était normal. Comment est il possible d’impressionner Léon, j’en sais rien du tout ; c’est un homme qui peut raconter que quand il rentrait chez lui après l’école, il trouvait Bruce Lee sur le palier de sa porte attendant que son père rentre du travail. Une fois que le Professeur était là, lui et Bruce poussaient les meubles du salon, et ponctuaient leur longues discussions par des dessins et autres pour assoir leurs arguments.
Léon commença à s’entrainer au Tae Kwon Do à l’âge de 18 ans, obtenant sa ceinture noire à l’âge de 20. Il a été renvoyé par son instructeur car il saisissait les jambes de ses adversaires pour les projeter sur la tête et pour les immobiliser dans une des techniques caractéristiques de son père, la « pretzel hold ». En 1986, Léon fut blessé dans un accident de voiture ; il en a gardé encore aujourd’hui des séquelles dans le bas de son dos et ses épaules – mais vous ne le remarquerez probablement jamais – et les dégâts causés à son dos l’empêchent de réaliser des coups de pied haut. Mais encore une fois, comme il le mentionne, il ne donne jamais de coup de pied au dessus de la ceinture, avec une exception cependant quand il a décider d’avoir un peu plus de place pour se déplacer, et poussé un éventuel assaillant à travers la pièce avec un coup de pied de coté au buste pour le découragé de revenir à la charge.
Il retourna finalement en 1990 à l’étude du Small Circle jujitsu après son déménagement en Surrey, s’étant marié à une belle femme d’origine Anglaise, Sandra. A cette époque, son père avait commencé travailler avec deux autres artistes martiaux de renom international – Remy Presas et George Dillman – et les 3 dirigeaient des séminaires ensembles. Après que Léon est organisé une série de séminaires en Surrey, il commença à étudier le Kyusho et le Tuité Jitsu. Mr Dillman a pu s’apercevoir que les concepts du Small Circle ont amélioré ses techniques de saisies, tandis que le Pr Jay s’est rendu compte que les points de pression amélioraient l’efficacité des ses techniques de clé et de projections.
Léon se lança donc dans l’étude du Kyusho et du Tuité Jitsu et apporta de nouvelles idées au système en allant chercher dans d’autre arts avec l’aide de John Mellon, un instructeur local qui partageait son temps entre ses cours et assisté le Prof Wally Jay durant ses séminaires. En 1997, le Professeur vu avec quel investissement son fils étudia et promouvait son art et mais aussi son désir hardant de développement perpétuel dans plusieurs domaine, il décida qu’il était venue le temps de nommer son fils Soke Dai. Etant un invité régulier du dojo de Léon à LeatherHead, je peux attester de l’efficacité de ses compétences et ses capacités à les transmettre. Plusieurs artistes martiaux de renom, tiennent Léon en estime, George Dillman décerna à Léon le grade de 8ème Dan en tuité Jitsu et en 1998, Pat Mc Carthy un sensei américain plus connu sous le nom de « le Black Ship » du Karaté le seul occidental à détenir un 7ème Dan du Butotukai, nomma Léon 5ème Dan de Karaté. Léon a réalisé beaucoup de KO sur des volontaires durant ses séminaires mélangeant Small Circle et Kyusho jitsu.
Il y a beaucoup d’instructeur ici bas qui prétende connaitre ce que Léon maitrise. Mais il ne va pas chercher à s’en rendre compte par lui-même. Ce n’est pas dans le tempérament des Jay d’agir de cette manière – il hausse simplement les épaules et souris et s’en remet à son propre niveaux de compétences pour argumenter. Aujourd’hui, il y a seulement 2 personnes en Europe qui ont la permission du Professeur d’enseigner le Small Circle, avec beaucoup d’humilité. Avec leur permission, ils font la promotion du Small Circle Jujitsu et essai de démontrer les bases de cet art aux étudiants intéressés. Pareil pour le Kyusho jistu, il y a peu de sources d’information, peut être en karaté, mais elles sont très peu enseignées et n’existe pas dans d’autre système. George Dillman est vraisemblablement la source originelle de cet enseignement pour la plupart des instructeurs en karaté parmi ceux qui ont pu étudier avec Sensei Dillman, Léon s’est beaucoup entrainé avec lui. Il existe des pensées étranges de certaines personnes du monde des arts martiaux, pensant qu’il est suffisant d’accueillir un grand instructeur, d’écrire un livre basé sur cette expérience, et partir sur la route, enseigner les choses que vous avez apprises si rapidement.
Les antécédents familiaux des Jays se rapportent en dépit du fait d’avoir 2 incroyables artistes martiaux sur deux choses fondamentales. La première de ces choses est l’approche familiale envers l’éducation et le développement de soi; très simplement basé sur le fait que vous devez rester tout aux longs de votre vie un étudiant, et un jour sans apprendre quelques choses est un jour gâchées. La deuxième, est quelques chose sur lequel nous pouvons tous nous appuyer, c’est le concept Hawaiien de Kokua, ou hospitalité. Il y a une super ambiance dans le dojo de Léon, de bienvenue et d’ouverture d’esprit, avec le désir des étudiants d’apprendre tout en prenant beaucoup de plaisir dans ce qu’il font. Quiconque qui a eu le privilège de passé un peu de temps avec Wally et Bernice Jay, les deux personnes les plus généreuses que j’ai rencontrées se sentirait familier avec cette ambiance au dojo.
Les dernière innovations de Léon est le “Small Circle Jujitsu Concepts Programme”, c’est un programme d’entrainement développé pour permettre à des pratiquant non initiés en SCJ d’acquérir certaines compétences sur la mécanistique et la techniques du système. Le programme a été co-développé avec John Mellon, le responsable du Munen Muso Ryu et un ami de longue date et conseiller technique de la famille Jay, le programme est structuré pour permettre à des artistes martiaux de n’importe quelle discipline d’apprendre les principes clés et les techniques du Small Circle Jujitsu pour implémenter leur propre art. Léon raconte » Si vous demandez au gens qu’est ce qu’il connaisse du Small Circle , ils vous répondront « Les clés de doigt ! » C’est tout à fait compréhensible, étant donné que ce sont des techniques très visuelles, et d’une certaine manière, elles englobent l’essence de ce qui rend le Small Circle différent, elles représentent la pure efficacité de l’art.
Nous avons fait très attention en structurant le programme, qui est basé sur une série de séminaire à thème. Tous le monde démarre avec le même séminaire une sorte de « séminaire 101 », dans lequel les principes clés sont appris. Après cela, si l’étudiant souhaite continuer, il y a d’autres modules fondamentaux sur les Techniques d’entrée, les Projections, les clés de poignets, et les clés de doigt, avec deux modules supplémentaires axés sur les contre en projection et sur le travail des enchainements, et tout cela peut être effectué dans n’importe quel ordre ou bien isolément. Toute personne qui a suivit chacun de ces modules, a la possibilité de participer au programme d’instructeur. L’idée est de encore une fois rendre accessible des personnes d’autres disciplines qui souhaite ajouté à leur propre système quelques une des compétences de saisie sans forcement changer de style.
Je peux réellement vous recommander de vous entrainer avec Léon, quelque soit la discipline dans laquelle vous êtes. Se faisant, vous pouvez à la fois améliorer vos connaissances et les perspectives dans les arts martiaux. J’ai pu rencontrer des gens incroyables depuis mon travail avec la famille de Léon, et obtenu des bénéfices en conséquence. Essayez et vous allez aimer !
Ecrit par John Mellon
Aux débuts du 21ème siècle, beaucoup d’artiste martiaux se demandent si leurs techniques peuvent être efficace en situation, une manière de réconcilier le traditionnel avec le pratique pour la vrai vie. Cela est bien évidemment difficile de trouver des instructeurs capable de maitriser ce chemin étroit entre le traditionnelle et l’innovation. Le Prof. Léon Jay est un de ceux qui est capable de faire le lien – mais il sera aussi le premier à mettre en avant qu’il est sur une longue phase d’apprentissage. Aujourd’hui il est un artiste martial talentueux et accompli et quand on se tient prêt de lui, il devient un guide désireux d’aider tous ceux qui serait disposé à apprendre.
Pour avoir quelques idées des ses habilités en tant qu’instructeur et pour comprendre pourquoi et comment il est devenu un instructeur, vous devez savoir quelque chose sur son parcours. Léon est le fils de Wally et de Bernice Jay – oui j’ai bien dit Wally et Bernice Jay- et le successeur à la tête du Small Circle Jujitsu, étant de la deuxième génération de Head master.
Léon est né à Alameda, une petite ile au sud de San Francisco en 1955. Ses parents sont métisses : Wally qui est moitié Chinois et Hawaiien et Bernice (qui a des ancêtres anglais). Hawaï est un lieu cosmopolite et d’échange des meilleurs artistes martiaux modernes toutes races et traditions confondues, Wally Jay en fait parti, appris leurs arts sur cette ile.
Vous pouvez vous demander, pourquoi Léon a reçu cet héritage? Hé bien, pour belle et bien une chose, en dépit du fait qu’il vient de la même famille, il n’a jamais été automatique que Léon puisse un jour être l’héritier du SCJ, bien au contraire. En réalité, les hommes de la trempe du Professeur Wally Jay ne pratiquent pas le népotisme, même si ils reconnaissent que ça ne sert pas forcement ce qu’il essaie de promouvoir. Léon a du gagné ses grades et son héritage par la voie dure. Les caractéristiques de la famille de Léon reposent dans ses valeurs et le mode de vie des Jays, encore plus que dans le haut niveau d’excellence techniques et de la recherche perpétuel d’efficacité.
Bien que Léon est commencé à s’entrainer avec son père à l’âge de 2 ans, il a toujours été intéressé par d’autre styles. Il détient le rang de Shodan en Judo du Kodokan, est ceinture noire de Tae Kwon Do, est 3ème Dan dans le Kodenkan Jujitsu du Prof. Henri Okazaki, le premier Sensei de son père.
Son père l’a toujours encouragé à aller voir d’autre style, et comme beaucoup de jeunes hommes, particulièrement durant son adolescence, Léon observa de nombreux système, recherchant l’originalité – ayant été entouré par les plus haut niveaux d’excellence en tant que artiste martial, Léon pensait simplement que c’était normal. Comment est il possible d’impressionner Léon, j’en sais rien du tout ; c’est un homme qui peut raconter que quand il rentrait chez lui après l’école, il trouvait Bruce Lee sur le palier de sa porte attendant que son père rentre du travail. Une fois que le Professeur était là, lui et Bruce poussaient les meubles du salon, et ponctuaient leur longues discussions par des dessins et autres pour assoir leurs arguments.
Léon commença à s’entrainer au Tae Kwon Do à l’âge de 18 ans, obtenant sa ceinture noire à l’âge de 20. Il a été renvoyé par son instructeur car il saisissait les jambes de ses adversaires pour les projeter sur la tête et pour les immobiliser dans une des techniques caractéristiques de son père, la « pretzel hold ». En 1986, Léon fut blessé dans un accident de voiture ; il en a gardé encore aujourd’hui des séquelles dans le bas de son dos et ses épaules – mais vous ne le remarquerez probablement jamais – et les dégâts causés à son dos l’empêchent de réaliser des coups de pied haut. Mais encore une fois, comme il le mentionne, il ne donne jamais de coup de pied au dessus de la ceinture, avec une exception cependant quand il a décider d’avoir un peu plus de place pour se déplacer, et poussé un éventuel assaillant à travers la pièce avec un coup de pied de coté au buste pour le découragé de revenir à la charge.
Il retourna finalement en 1990 à l’étude du Small Circle jujitsu après son déménagement en Surrey, s’étant marié à une belle femme d’origine Anglaise, Sandra. A cette époque, son père avait commencé travailler avec deux autres artistes martiaux de renom international – Remy Presas et George Dillman – et les 3 dirigeaient des séminaires ensembles. Après que Léon est organisé une série de séminaires en Surrey, il commença à étudier le Kyusho et le Tuité Jitsu. Mr Dillman a pu s’apercevoir que les concepts du Small Circle ont amélioré ses techniques de saisies, tandis que le Pr Jay s’est rendu compte que les points de pression amélioraient l’efficacité des ses techniques de clé et de projections.
Léon se lança donc dans l’étude du Kyusho et du Tuité Jitsu et apporta de nouvelles idées au système en allant chercher dans d’autre arts avec l’aide de John Mellon, un instructeur local qui partageait son temps entre ses cours et assisté le Prof Wally Jay durant ses séminaires. En 1997, le Professeur vu avec quel investissement son fils étudia et promouvait son art et mais aussi son désir hardant de développement perpétuel dans plusieurs domaine, il décida qu’il était venue le temps de nommer son fils Soke Dai. Etant un invité régulier du dojo de Léon à LeatherHead, je peux attester de l’efficacité de ses compétences et ses capacités à les transmettre. Plusieurs artistes martiaux de renom, tiennent Léon en estime, George Dillman décerna à Léon le grade de 8ème Dan en tuité Jitsu et en 1998, Pat Mc Carthy un sensei américain plus connu sous le nom de « le Black Ship » du Karaté le seul occidental à détenir un 7ème Dan du Butotukai, nomma Léon 5ème Dan de Karaté. Léon a réalisé beaucoup de KO sur des volontaires durant ses séminaires mélangeant Small Circle et Kyusho jitsu.
Il y a beaucoup d’instructeur ici bas qui prétende connaitre ce que Léon maitrise. Mais il ne va pas chercher à s’en rendre compte par lui-même. Ce n’est pas dans le tempérament des Jay d’agir de cette manière – il hausse simplement les épaules et souris et s’en remet à son propre niveaux de compétences pour argumenter. Aujourd’hui, il y a seulement 2 personnes en Europe qui ont la permission du Professeur d’enseigner le Small Circle, avec beaucoup d’humilité. Avec leur permission, ils font la promotion du Small Circle Jujitsu et essai de démontrer les bases de cet art aux étudiants intéressés. Pareil pour le Kyusho jistu, il y a peu de sources d’information, peut être en karaté, mais elles sont très peu enseignées et n’existe pas dans d’autre système. George Dillman est vraisemblablement la source originelle de cet enseignement pour la plupart des instructeurs en karaté parmi ceux qui ont pu étudier avec Sensei Dillman, Léon s’est beaucoup entrainé avec lui. Il existe des pensées étranges de certaines personnes du monde des arts martiaux, pensant qu’il est suffisant d’accueillir un grand instructeur, d’écrire un livre basé sur cette expérience, et partir sur la route, enseigner les choses que vous avez apprises si rapidement.
Les antécédents familiaux des Jays se rapportent en dépit du fait d’avoir 2 incroyables artistes martiaux sur deux choses fondamentales. La première de ces choses est l’approche familiale envers l’éducation et le développement de soi; très simplement basé sur le fait que vous devez rester tout aux longs de votre vie un étudiant, et un jour sans apprendre quelques choses est un jour gâchées. La deuxième, est quelques chose sur lequel nous pouvons tous nous appuyer, c’est le concept Hawaiien de Kokua, ou hospitalité. Il y a une super ambiance dans le dojo de Léon, de bienvenue et d’ouverture d’esprit, avec le désir des étudiants d’apprendre tout en prenant beaucoup de plaisir dans ce qu’il font. Quiconque qui a eu le privilège de passé un peu de temps avec Wally et Bernice Jay, les deux personnes les plus généreuses que j’ai rencontrées se sentirait familier avec cette ambiance au dojo.
Les dernière innovations de Léon est le “Small Circle Jujitsu Concepts Programme”, c’est un programme d’entrainement développé pour permettre à des pratiquant non initiés en SCJ d’acquérir certaines compétences sur la mécanistique et la techniques du système. Le programme a été co-développé avec John Mellon, le responsable du Munen Muso Ryu et un ami de longue date et conseiller technique de la famille Jay, le programme est structuré pour permettre à des artistes martiaux de n’importe quelle discipline d’apprendre les principes clés et les techniques du Small Circle Jujitsu pour implémenter leur propre art. Léon raconte » Si vous demandez au gens qu’est ce qu’il connaisse du Small Circle , ils vous répondront « Les clés de doigt ! » C’est tout à fait compréhensible, étant donné que ce sont des techniques très visuelles, et d’une certaine manière, elles englobent l’essence de ce qui rend le Small Circle différent, elles représentent la pure efficacité de l’art.
Nous avons fait très attention en structurant le programme, qui est basé sur une série de séminaire à thème. Tous le monde démarre avec le même séminaire une sorte de « séminaire 101 », dans lequel les principes clés sont appris. Après cela, si l’étudiant souhaite continuer, il y a d’autres modules fondamentaux sur les Techniques d’entrée, les Projections, les clés de poignets, et les clés de doigt, avec deux modules supplémentaires axés sur les contre en projection et sur le travail des enchainements, et tout cela peut être effectué dans n’importe quel ordre ou bien isolément. Toute personne qui a suivit chacun de ces modules, a la possibilité de participer au programme d’instructeur. L’idée est de encore une fois rendre accessible des personnes d’autres disciplines qui souhaite ajouté à leur propre système quelques une des compétences de saisie sans forcement changer de style.
Je peux réellement vous recommander de vous entrainer avec Léon, quelque soit la discipline dans laquelle vous êtes. Se faisant, vous pouvez à la fois améliorer vos connaissances et les perspectives dans les arts martiaux. J’ai pu rencontrer des gens incroyables depuis mon travail avec la famille de Léon, et obtenu des bénéfices en conséquence. Essayez et vous allez aimer !
Ecrit par John Mellon